Patricia Cereijo

Très sincèrement : "Merci et à bientôt".

Nous avons fait une belle campagne !

Certes, la victoire n’est pas au rendez vous. Et, pourtant, nul dans l’équipe n’a démérité pour porter avec moi cette volonté de représenter le vrai renouveau dans cette circonscription.

Je remercie les 22014 électeurs qui m’ont fait confiance dimanche. Cela n’aura pas suffi mais ce résultat confirme qu’il y a des raisons d’espérer sur cette circonscription. A nous de travailler sans relâche et de commencer dès maintenant la campagne 2012.

Le député sortant est donc réélu. Il va entamer son 5ème mandat. Souhaitons que, en tant que député, il soit plus productif qu’il ne l’a été en tant que candidat dans cette campagne — car, de campagne, il n’en fit pas : un copié collé des documents de 2002, les photos d’il y a 5 ans, de la désinvolture …, bref, rien de nouveau à proposer et un sérieux mépris pour les habitants et les électeurs. 

Parti pour le 2ème tour avec un potentiel de 64% de voix, il atteint 56,89 %. Les électeurs ont perdu confiance en lui — sans cependant, pour cette fois, aller jusqu'à lui retirer son mandat.

De mon côté, je continue à creuser le sillon de la gauche. De 33 % au soir du 10 juin, je recueille 43,11% des suffrages. Ceci est source de satisfaction.

Pour transformer ce résultat en réussite dans 5 ans, tout commence maintenant.

Pour ce faire, il nous faut garder l'esprit d’équipe que nous avons su créer et nous organiser pour que cet élan devienne une "machine à gagner".

C’est avec vous et pour vous que je m’engage avec détermination à continuer cette action militante.

Remerciements sincères et chaleureux à vous tous .

PS : Cet article est le dernier de ces élections mais un autre blog verra le jour  très rapidement. Il nous faut garder le contact.

Les sections, les cantons, les municipalités et ... Patricia.

Les secrétaires des sections du Parti Socialiste des cantons de Challans / Palluau, les Essarts, le Poiré-sur-Vie / Rocheservière, la Roche-sur-yon nord apportent leur soutien à Patricia Cereijo.

La première circonscription connaît un duel classique qui peut permettre le renouveau et l’action.

Nous avons accompagné Patricia Cereijo à chacune de ses rencontres avec les maires et les élus locaux.

La quasi unanimité d’entre eux ont estimé que le député sortant n’était pas l’homme de la situation : "absent, inconsistant,…" et même "tout sauf Jean-Luc Préel", voilà ce que nous avons entendu !

Comment imaginer un nouveau mandat de 5 ans dans un tel climat de défiance ?

Il y a une alternative, celle du travail, de la transparence, de l’engagement, de l’intégrité. C’est ce que représente Patricia Cereijo.

En conséquence, nous appelons l'ensemble des électeurs de gauche et républicains à voter Patricia Cereijo le 17 juin prochain.

Oui ! Sur le terrain, forte du soutien de Ségolène !

Je ne doutais évidemment pas du soutien de Ségolène à ma candidature. Mais je suis sensible à l'attention particulière que constitue ce témoignage personnel de soutien.

Merci à Ségolène pour ce qu'elle a fait et continuera à faire pour la gauche.

Montrons-nous dignes de sa pugnacité dans notre poursuite du combat sur le terrain durant cette dernière semaine !

Aux tracts, militants ! Aux urnes, citoyens !

Le 1er tour des élections législatives a eu lieu. Dans notre circonscription, alors que Jean-Luc Préel et Alain Leboeuf ont totalisé respectivement 31,03 et 27,94% des suffrages, j'ai réuni 25,26% de l'ensemble des voix. Je remercie les 14460 électeurs qui, dès le 1er tour, m'ont fait confiance.

La lutte entre les 2 candidats de droite est allée si loin pendant la campagne que l'on pouvait penser qu'elle se poursuivrait au-delà du 10 juin. Dimanche soir, Alain Leboeuf laissait planer le doute. Mais la "hache de guerre" semble, au moins provisoirement, enterrée : Alain Leboeuf a déclaré ce lundi, à 17 heures, qu'il ne se maintenait pas au 2nd tour.

Nous retrouvons donc une classique opposition entre deux candidats : d'une part, le candidat sortant, Jean-Luc Préel,  candidat du passé et de l'immobilisme, d'autre part la relève, une candidate qui incarne la volonté d'avenir et d'action, en l'occurence moi-même.

La victoire est possible. J'en suis convaincue. Un important réservoir de voix existe. Ce sont bien sûr d'abord les voix des forces de progrès, forces qui m'ont déjà rejointe. Mais ce sont aussi les voix qui se sont tues à l'occasion du 1er tour !  Notre devoir pour cette dernière semaine de campagne est d'abord d'aller convaincre tous ceux qui, parce qu'ils avaient peut-être cédé au trompeur sentiment de fatalité, ne se sont pas déplacés dimanche aux urnes.

Aux tracts, militants ! Aux urnes, citoyens ! Aujourd'hui et toute cette semaine, mobilisons-nous pleinement pour que, dimanche, les citoyens fassent le choix de se mobiliser massivement ! Pour la victoire !

Résultats du 1er tour des élections

Nathalie Botton (CPNT) : 1232 voix soit 2,15%

Patricia Cereijo (PS) : 14460 voix soit 25,26%

Jacques Charrier (MEI) : 837 voix soit 1,46%

Mayi Gil (LCR) : 1491 voix soit 2,6%

Alain Leboeuf (DVD) : 15993 voix soit 27,94 %

Corinne Moreau (GUA) : 1129 voix soit 1,97%

Brigitte Neveux (FN) : 1293 voix soit 2,26%

Jean-Luc Préel (NC) : 17761 voix soit 31,03%

Gilles Robin (LO) : 635 voix soit 1,11%

Jacqueline Sorin : 0 voix

Marie-Madeleine Violleau (MNR) : 373 voix soit 0,65%

Anne Valin (Verts) : 2041 voix soit 3,51%

Retour sur une belle soirée

 

 

C’est l’équipe « pour Dompierre » qui nous a accueillis lundi soir pour le buffet Républicain.

180 personnes, amis, militants, sympathisants avaient répondu présents pour ce moment convivial à 5 jours du 1er tour.

L’occasion pour Pierre Regnault, Président de mon comité de soutien, de brosser le portrait de quelques figures du gouvernement provisoire de notre pays et d’expliquer quelles seront les conséquences dramatiques des mesures envisagées par le marathonien de l’Elysée.

L’opportunité pour moi de remercier tous ceux qui se sont mobilisés à mes côtés pour mener une campagne de proximité où militantisme, convivialité, bonne humeur ont été à l’ordre du jour.

Bien sûr, je n’ai pas omis de parler du contexte local, de la division de la droite, de ma sérénité à quelques jours du 1er tour et de ma volonté, une fois élue, de faire ce que je dis et de rester ce que je suis : une femme engagée qui vous ressemble et qui compte bien vous représenter dignement.

Quelques images de cette sympathique soirée dans l'album de la colonne ci-contre.

Remerciements chaleureux à ceux qui se sont mobilisés pour en assurer la réussite !

 

Seulement 5 jours, encore 5 jours

Il nous reste 5 jours de campagne pour convaincre que l’alternance est possible sur cette circonscription, pour expliquer que l’équilibre politique est indispensable pour faire vivre la vie démocratique à laquelle nous sommes tous tant attachés.

De mes rencontres avec les élus, les habitants, les acteurs économiques, culturels, associatifs, sociaux, je ressors renforcée dans mon idée qu’il y a partout des gens impliqués, soucieux du bien commun. Ils ont envie de se sentir épaulés, accompagnés pour voir aboutir un projet simple ou ambitieux. Renforcer le lien social dans une commune ou un pays, répondre à un besoin de développement économique, améliorer la vie quotidienne des habitants, telles sont les exigences qui se sont faites entendre pendant la campagne.

Je veux être, pour tous, cette députée intègre sur laquelle vous pourrez compter, qui pourra porter avec vous l’avenir de notre territoire.

Pour cela, il reste 5 jours pour passer ce 1er tour. Certes, on nous parle de vague bleue et, une fois de plus, on peut se demander s’il est nécessaire d’aller voter puisque tout semble déjà décidé. La télé l’a dit. Mais en démocratie ce sont les électeurs qui décident.

Alors, dimanche, il faudra aller voter et faire voter pour qu’une dynamique s’enclenche. Cela est nécessaire non seulement "par principe" mais aussi, soyons-en bien convaincus, car nous vivons une situation inédite dans cette circonscription où, comme je l’entends depuis des semaines, "c’est ouvert".

Je démarre cette semaine comme les autres semaines : sereine et conquérante.

Je creuse le sillon de la gauche en réaffirmant nos valeurs et nos priorités.

Mes concurrents ont choisi la division, la surenchère des soutiens, l’agressivité dans leurs propos à mon égard. Nous sommes loin de l’essentiel et c’est bien regrettable.

5 jours pour dire aux électeurs : osez l’alternance, faites confiance à Patricia Cereijo.

Depuis ce début de campagne, vous êtes une centaine à vous être mobilisés sans compter. Je vous demande de bien vouloir démultiplier les forces dans cette dernière ligne droite.

C’est le combat de nos idées. Alors, jusqu’au bout, portons le flambeau des valeurs qui nous animent. Faisons les vivre autour de nous, en Vendée. Et ne nous y trompons pas. La tradition vendéenne est celle des valeurs humanistes. La parenthèse villiériste peut se refermer. Elle le doit. Ne laissons pas les législatives retarder le moment de tourner cette page sombre. Dès le 10 juin, appelez à voter pour le changement, le seul véritable. Appelez à la mobilisation autour de ma candidature.

Immobilisme et confusion !

(... Humour.... !)

En politique, il faut savoir archiver pour replonger dans le passé et mesurer le chemin parcouru.

Le narcissisme amène peut-être certains à garder seulement les documents qui les concernent. Mais c'est évidemment un tort. D'ailleurs, ce que disent les  adversaires est aussi digne d'intérêt. Pour ma part, j'ai gardé les publications des candidats de la campagne des législatives de 2002 .

Bien m’en a pris ! Cela me permet notamment de comparer les 2 journaux de campagne du député sortant à 5 ans d’intervalle. Et la surprise est grande !

Pour illustrer l’immobilisme, on ne peut pas mieux faire. Ainsi, sauf si une mystérieuse cure de jouvence existe, notre sortant n’a pris aucune ride et pousse le fétichisme assez loin en étant vêtu de la même chemise, la même cravate, la même veste. En regardant bien, il s’agit de la même série de photos qu'il y a 5 ans. Comme dirait un entraîneur de foot bien connu... « faut pas gâcher ».

Passons pour la couverture mais, à l’intérieur, au niveau des titres de chacune des pages, c’est du copié collé ; pour les photos, vous retrouverez, page 5, la photo de la page 5 de 2002, page 8, la photo de la page 8 de 2002, page 9, une photo de la série de la page 9 de 2002.

On échappe au Pape en dernière page mais on trouve, page 9, François Bayrou lâché entre les 2 tours (il devrait apprécier). Et, surprise encore, on trouve page 10, 15 et dernière de couverture son adversaire de la majorité présidentielle mais aussi l'équipe de ce dernier : le suppléant, le président du comité de soutien...  Dur dur, d'avoir été certain d'être le seul candidat de droite à concourir pour un 5 ème mandat, d’avoir voulu ratisser sur toute la circonscription, tous azimuts, et d’être maintenant trahi par les siens.

Mais le binôme à sa droite n’est pas en reste. Sur leur journal, on entretient la confusion sur qui est le candidat et pour quelle élection.

On tente des témoignages. Mais, quand on reste dans l'anonymat, ce ne sont que des opérations de communication. Qui sont donc Guillaume F, Marie H ? On parle beaucoup du Conseil Général mais ce ne sont pas des élections cantonales (quelque impression d'ailleurs que puisse laisser le journal). Pour cela, il faudra encore attendre un an ....

Enfin, quand un élu, aussi père du candidat, apporte son soutien, il entraîne avec lui son association.
J’avais pu constater (et je vous en avais fait part sur ce blog) que cette association pouvait servir de tribune politique à des porte-paroles de candidats à la présidentielle au mépris des adhérents présents. Et bien, on perdure dans cette logique (les adhérents apprécieront).

Je tiens bien entendu ces journaux à disposition de chacun d’entre vous.

Des lignes à noircir, des pages à laisser vierges...

Nous, habitants de la 1ère circonscriptions de Vendée, assistons depuis le 23 avril à un bien étrange spectacle. Par média interposés, les principaux soutiens des deux candidats de la Majorité Présidentielle se livrent à la surenchère. C’est un peu la chanson : "je le tiens, tu le tiens ... le soutien".

Pour ainsi dire, c'est à qui revendique d’avoir le plus beau camion de pompiers, le plus rouge, le plus rapide, le plus ... De tels enfantillages pourraient prêter à rire si l'enjeu que constituent les élections législatives n'avait pas tant d'importance !

Mais voilà, il ne s’agit pas d'un jeu ; il s'agit de l’avenir de la France. Je reste songeuse : pour pouvoir s'abandonner aux chamailleries et en même temps ambitionner de nous représenter, ils doivent tout de même se faire une bien piètre image de nous !

Et que dire de l'image du débat public ainsi donnée ! Et que dire des deux candidats ? Pour l'un comme pour l'autre, une ambition toute personnelle, une obsession, celle la carte de visite, celle du Curricculum Vitae.

Ah si, une différence cependant :
     - pour le député sortant, il s'agit de noircir le CV des lignes d'un x^ième mandat, tel est le but ;
     - pour le prétendu challenger, il faut laisser le CV vierge de toute appartenance politique, pas d'autres moyens.

     - dans un cas, il s'agit de s'accrocher encore et toujours à la fonction, seul au poste ;
     - dans l'autre cas, il faut absolument préserver sa virginité de divers droite afin de pouvoir remplir sa fonction de sous marin d’un ancien candidat à la présidentielle, candidat qui se cache et se tait depuis son faible score de 11% en Vendée.

Ah ! La politique ! Avec eux, nous sommes sûrs d'être loin de ce qui en fait la noblesse : le service de l’intérêt général.

Certes, il faut en convenir, mener campagne, ce ne doit pas être toujours facile pour des candidats de droite. Il doit être compliqué d’expliquer :

- l’intérêt du bouclier fiscal à l’ouvrier qui se lève tôt pour gagner peu,
- la possibilité de gagner plus quand seuls des emplois à temps incomplet sont proposés aux demandeurs (euses) d’emplois,
- la "France propriétaire" à des jeunes contraints de se déraciner pour trouver un logement au loyer accessible,
- l’égalité réelle à l’école quand des enfants se lèvent encore à 6 h du matin parce qu’il n’y a pas de collège public dans tous les cantons,
- la solidarité entre générations à des personnes âgées qui, parfois, ne peuvent plus rester dans leur maison parce qu’il n’y a plus de médecins dans la commune, de services à la personne, de services publics de proximité,
- la priorité écologique du Président de la République quand une partie de cette circonscription est qualifiée par des habitants et certains élus de « Vendée ordures ».

Oui. Cela doit être difficile pour les candidats de la Majorité Présidentielle !

Mais mener la campagne sur le terrain est nécessaire ! C'est ainsi que l'on s’imprègne de la réalité de ce territoire et que l'on partage le quotidien des gens.

Aller à la rencontre des gens, les écouter, les convaincre, leur parler, s’intéresser à eux, s’engager pour l’avenir, les assurer de mon implication et de mon dévouement, voilà ce que j'aime, voilà ce que doit permettre une véritable campagne !

Bien sûr, parfois, les désaccords surgissent. Mais la confrontation ne m’effraie pas. Au contraire ! Parce qu'elle me donne l'occasion de faire preuve de ma pugnacité, de ma détermination, de ma volonté de représenter tous les citoyens avec efficacité, la confrontation me stimule.

Tous ceux que je rencontre ne partagent pas mes idées. Mais parce que j'accepte le débat, je peux gagner leur confiance : ils savent alors que je leur ressemble ; ils comprennent que je saurai être la députée sur laquelle ils pourront compter.

Bref, ambitionner de vous représenter, oui ! Mais à condition d'avoir des comportements qui vous ressemblent, des comportements et une manière de faire campagne dont vous puissiez être fiers !

Un décor presque comique - Un envers du décor vraiment tragique

Ce que cache la « peopolisation » de ce gouvernement

Le décor

Fillon à Matignon, French Doctor au quai d’Orsay, Dati à la justice, tous les journaux en parlent.

Vous rajoutez : Nicolas fait son footing, Nicolas à la plage, Nicolas sur son yacht et vous avez l’impression de reprendre la saga des Oui-Oui dont nos enfants se sont régalés il y a maintenant quelques années.

Tout ceci ferait sans doute une belle série télé s’il ne s’agissait pas de ceux qui sont aux commandes de notre pays. Tout ceci est "pain bénit" pour les réalisateurs des Guignols de l'info sur Canal mais leur journal n'est malheureusement pas de fiction (journal que, pour garder un peu d'humour, et il en faut !, je vous conseille de suivre).

Mais le plus inquiétant n'est peut-être pas là.

L'envers du décor

Invinciblement, on en vient à se demander si tout cela ne sert pas à masquer d’autres arrivées beaucoup moins médiatiques mais bien plus inquiétantes et révoltantes.

A l'appui de ce soupçon, je me contenterai d'un seul exemple : l'arrivée de Christine Boutin.

En tant que femme, je ne peux la passer sous silence.

Cette entrée dans le gouvernement est un affront fait aux droits des femmes parce qu’elle est :

- Consulteur auprès du Vatican reconduite dans ses fonctions par le Pape du moment,
- Militante anti IVG et prônant une réorientation de fonds auprès d’organismes qui permettent aux femmes enceintes et en difficulté d’aller au bout de leur grossesse ( cela ne vous rappelle-t-il rien de ce que nous avons déjà eu le malheur de connaître en Vendée ?),
- Initiatrice de « maison de la famille » dans chaque canton ou quartier,
- Porteuse de valeurs traditionnalistes qui laissent peu de places aux familles recomposées, porteuse d'une apologie de, a contrario, la famille classique censée selon elle être la seule capable d’assurer des repères aux enfants !

Cette entrée au gouvernement constitue un recul pour notre société. Souvenez-vous de son combat idéologique contre le PACS !

L'idéologie au pas de charge, au mépris de la réalité des problèmes rencontrés par nos concitoyens ! En responsabilité aujourd'hui des questions de logement, que dit-elle à ce sujet ? Elle préconise une évolution de la loi SRU de telle sorte que puisse être donnée une priorité aux F5 et F6. Mais alors, quelles réponses serons-nous à même d'apporter aux personnes seules ou aux familles monoparentales ?

Elle sera aussi en charge de la politique de la Ville. Qu'est-ce qu'une politique de la ville ? C'est la mise en place d’actions collectives en direction des jeunes et des familles pour assurer la cohésion sociale dans nos quartiers. Mais pour ce faire, il faut pouvoir faire preuve d’un minimum d’ouverture, il faut prendre en compte la diversité de la population, il faut construire dans le respect des différences de vrais parcours d’intégration sociale et culturelle. La mode est certes aux prétentions d'avoir changé, nous nous souvenons des discours de son men...tor. Mais qui pourrait croire que Christine Boutin puisse un jour changer suffisamment pour pouvoir faire véritablement siennes de telles exigences ?

Oui, tout ceci est inquiétant et il fallait bien du débauchage, de la pseudo ouverture pour masquer l’entrée de ceux (n'oublions pas Hortefeux !) et celles qui sont chargés de mettre en oeuvre la vraie politique de droite dure du locataire de l’Elysée.

Le décor eût pu paraître comique. L'envers du décor est  vraiment tragique.

Soyons vigilants et clairvoyants. Donnons nous les 10 et 17 juin les moyens de peser le plus fortement possible pour contrer ce programme de régression tous azimuts.